A la frontière: une mosquée (pas celle-ci, qu'on vous montre car elle a un design particulier). Une autre mosquée sera le dernier bâtiment à notre sortie. |
Byzance, Constantinople, Istanbul: symbole de voyages et d'échanges entre l'Orient et l'Occident |
le bazar est également décoré des couleurs de l'AKP |
une place du bazar |
la Mosquée Bleue |
Pour le trône, un tapis de pierres précieuses |
vue des fenêtres de Sainte Sophie: au fond, la Mosquée Bleue |
toujours Sainte Sophie, profil droit |
les pavillons de Topkapi |
voici la dernière image - point final de notre voyage: cette ville-musée merveilleuse qui enjambe l'histoire et unit l'Europe et l'Asie (on est épuisé par tant de lyrisme!) |
en Serbie: pour les amateurs des chalets Jeujura |
des noms aux consonances russes en Slovénie |
galeries marchandes à Zagreb |
pas de guide, on peut suggérer que ceci est la place...principale de Zagreb sans doute |
- Un énorme regret : ne pas parler la langue. Notre connaissance très minimum du russe a facilité les premiers contacts mais on reste sur notre faim d’un côté comme de l’autre.
- nos progrès énormes en mime : on peut presque tout dire!
- pendant notre voyage, le temps n'existait pas (pensions-nous): nous avancions à notre rythme. La réalité est un peu différente: nous avions les bornes dates-de-fin-de-visas qui nous ont "coincés" souvent. Dommage pour ces lieux si beaux où nous aurions aimé rester un peu plus: nous allons être obligés d'y retourner!
- Nous avons parcouru 25 000 km en 4 mois. Def est "comme neuf!"
- Nous avons emporté trop de choses: on vit sans problème (mais différemment ) avec ce qu'on trouve sur la route. Nous avons consommé très peu de viande, privilégiant les légumes parfumés avec des herbes.
- On a un peu découvert la vie des routiers: wahoo! de la piste cassée, poussiéreuse venant de Chine aux attentes interminables aux postes frontières, quelle vie pendant des semaines.
- la rencontre avec des voyageurs étonnants : à vélo, en stop, ce ne sont pas des "rigolos" partis d'un coup de tête comme on en a rencontrés également. Les vrais sont partis depuis longtemps (2 depuis 4 ans, seuls), ils avancent au gré des rencontres, travaillant pour aller plus loin. Par exemple une jeune Belge seule qui pédalait sur les routes du Kirguistan venant de son pays. Ils sont clairs, racontent leur route, ce qu'ils y trouvent et savent aussi écouter.
- nos progrès énormes en mime : on peut presque tout dire!
- pendant notre voyage, le temps n'existait pas (pensions-nous): nous avancions à notre rythme. La réalité est un peu différente: nous avions les bornes dates-de-fin-de-visas qui nous ont "coincés" souvent. Dommage pour ces lieux si beaux où nous aurions aimé rester un peu plus: nous allons être obligés d'y retourner!
- Nous avons parcouru 25 000 km en 4 mois. Def est "comme neuf!"
- Nous avons emporté trop de choses: on vit sans problème (mais différemment ) avec ce qu'on trouve sur la route. Nous avons consommé très peu de viande, privilégiant les légumes parfumés avec des herbes.
- On a un peu découvert la vie des routiers: wahoo! de la piste cassée, poussiéreuse venant de Chine aux attentes interminables aux postes frontières, quelle vie pendant des semaines.
- la rencontre avec des voyageurs étonnants : à vélo, en stop, ce ne sont pas des "rigolos" partis d'un coup de tête comme on en a rencontrés également. Les vrais sont partis depuis longtemps (2 depuis 4 ans, seuls), ils avancent au gré des rencontres, travaillant pour aller plus loin. Par exemple une jeune Belge seule qui pédalait sur les routes du Kirguistan venant de son pays. Ils sont clairs, racontent leur route, ce qu'ils y trouvent et savent aussi écouter.
- Un souhait : ne pas arriver les mains vides dans un pays. Cela évite d'être trop "consommateurs de beaux paysages" et puis, ça enclenche des relations plus réelles. Mais quoi ? à nous d’y réfléchir.
- L’accueil ou les gestes gentils ou le petit coup de main de nombreuses personnes ; ça aide lorsqu’on se sent (un peu) fragilisé en terre inconnue et ça nous remplit de respect pour ces personnes si éloignées et souvent démunies.
- la variété incroyable des paysages. Le Tadjikistan étant sans doute le plus contrasté: des plateaux lunaires à 4000m aux vallées étroites cultivées comme autrefois.
- le sentiment que certains pays sont des poudrières en équilibre politique précaire.
- L'importance du pain. C'est la base de la nourriture, certains ne peuvent ajouter qu'une tasse de thé, un morceau de pastèque ou un fromage séché comme repas. Une personne travaillant à l'OMS nous disait d'ailleurs que certaines évaluations OMS se faisaient avec l'unité "pain".
Pour copier le Routard et autre Lonely, voici notre page culturelle:
CUISINE
- le sentiment que certains pays sont des poudrières en équilibre politique précaire.
- L'importance du pain. C'est la base de la nourriture, certains ne peuvent ajouter qu'une tasse de thé, un morceau de pastèque ou un fromage séché comme repas. Une personne travaillant à l'OMS nous disait d'ailleurs que certaines évaluations OMS se faisaient avec l'unité "pain".
Pour copier le Routard et autre Lonely, voici notre page culturelle:
CUISINE
La recette des Lagman (http://www.anouveausurlaroute.fr/?p=1066)
Ingrédients :
600 g de farine
200mL d’eau
600 g de moutons ou de bœuf
100 g d’huile végétale
150 g d’oignons
100 g de carottes
200 g de poivrons
50 à 100 g de tomates
400 g de pommes de terre
30 g d’ail
30 g d’aneth
600 g de farine
200mL d’eau
600 g de moutons ou de bœuf
100 g d’huile végétale
150 g d’oignons
100 g de carottes
200 g de poivrons
50 à 100 g de tomates
400 g de pommes de terre
30 g d’ail
30 g d’aneth
• Les pâtes
Mélanger farine et eau pour faire une pâte à laisser reposer une demi-heure.
Rouler la pâte pour en faire des fils d’un demi-centimètre de diamètre. Couper-les et les faire bouillir dans de l’eau salée. Après la cuisson, les égoutter et les rincer dans de l’eau froide et de l’huile.
• La préparation
Couper les oignons et les poivrons en morceaux. Faire revenir la viande coupée en petits morceaux avec les oignons dans l’huile végétale. Ensuite ajouter les carottes et les poivrons et laisser frire pendant 8 à 10 minutes. Ajouter alors les tomates et à la fin des pommes de terre et l’ail coupés. Assaisonner de sel et de poivre.
Enfin mélanger les pâtes et la préparation précédente puis parsemer le dessus du plat d’aneth avant de servir.
Mélanger farine et eau pour faire une pâte à laisser reposer une demi-heure.
Rouler la pâte pour en faire des fils d’un demi-centimètre de diamètre. Couper-les et les faire bouillir dans de l’eau salée. Après la cuisson, les égoutter et les rincer dans de l’eau froide et de l’huile.
• La préparation
Couper les oignons et les poivrons en morceaux. Faire revenir la viande coupée en petits morceaux avec les oignons dans l’huile végétale. Ensuite ajouter les carottes et les poivrons et laisser frire pendant 8 à 10 minutes. Ajouter alors les tomates et à la fin des pommes de terre et l’ail coupés. Assaisonner de sel et de poivre.
Enfin mélanger les pâtes et la préparation précédente puis parsemer le dessus du plat d’aneth avant de servir.
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